Cet article examine l’indépendance dont jouit le Directeur du Service des poursuites pénales par rapport au Procureur général et les instances dans lesquels le Procureur général peut intervenir auprès du Directeur suite à la controverse suscitée par l’affaire SNC-Lavallin.

 

Le texte tente de répondre à la question suivante : les fonctions de procureur général et de ministre de la Justice devraient-elles être séparées comme au Royaume-Uni ?