L’auteure se penche sur les travaux de Françoise Héritier pour considérer l’inégalité dans l’union conjugale entre les hommes et les femmes. Elle souligne également l’importance de bien distinguer la notion de conjugalité au fil du temps. Elle discute des développements de la législation canadienne en matière de reconnaissance et d’encadrement des rapports personnels et intimes.