Ce document de travail vise à allier l’amour du juge Gille Renaud pour la littérature avec son pain quotidien, à savoir juger du bien-fondé d’accusations criminelles. Joignant l’utile à l’agréable, il offre à l’avocate qui plaide des aperçus quant aux techniques de la plaidoirie qui se fondent sur le roman Trente arpents. Son plan est le suivant : il fait l’examen des techniques et des éléments de la plaidoirie qui se dégagent des paroles des personnages, au moyen d’un survol thématique des grandes questions de l’heure. 

 

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