Ma première interaction avec un drone était en Grèce. J’étais à Santorin pour une vacance avec ma copine et nous étions bien placés sur le bord d’une falaise pour un coucher de soleil tout à fait romantique. Quelques minutes avant que le soleil touche l’océan, nous entendions… bzzzzzzzz… directement au-dessus de nos têtes. Bon, quelqu’un a eu l’idée de capter le coucher de soleil avec son drone. 

  

Il est possible que vous trouviez ceci agaçant, mais il est également possible que vous aimiez recevoir un drone comme cadeau à votre prochain anniversaire. Selon la recherche de Goldman Sachs, il est estimé que plus de 7,8 millions de drones seront livrés aux consommateurs à travers le monde en 2020. C’est-à-dire qu’il y aura potentiellement 7,8 millions de drones dans les airs de cette planète cette année. Les drones nous offrent une innovation intéressante quant à l’exploration terrestre, la photographie et cinématographie, le divertissement et même la livraison de marchandise. Par contre, comme toute innovation dans ses premières phases, son utilisation peut causer des problèmes inattendus. Prenons, par exemple, l’incident à l’aéroport Gatwick à Londres en 2018. Deux drones ont été aperçus près des pistes d’atterrissage, ce qui a causé la fermeture de l’aéroport pour une journée entière et l’annulation d’une centaine de vols. 

  

Les drones constituent une importante étape dans l’innovation aérienne, mais entrainent également des défis à plusieurs niveaux. Alors, comment les réglementer? Le gouvernement fédéral du Canada, sous la plume du ministre des Transports Marc Garneau, a introduit de nouveaux règlements qui sont en vigueur depuis le 1er juin 2019. 

 


Pour lire l’article en entier, cliquez ici.