L’honorable Gilles Renaud s’intéresse vivement à la formation des enquêtrices, et a signé 36 documents de travail ayant pour titre « L’apprentissage des techniques policières – les enseignements que … ». Dans le cadre d’une nouvelle série de documents, il prorpose d’étudier les enseignements pour les détectives que nous livrent les illustres dramaturges, dont Corneille, Racine, Molière et Beaumarchais. Le premier document de travail de cette nouvelle série s’intitule « L’enquêtrice qui désire faire ses classes doit se rendre au théâtre et étudier les leçons que lui offre la pièce « Esther » de Jean Racine. Ce document est le quatrième du groupe, et il jette un éclairage utile sur les sujets qui sont pertinents aux enquêtes, notamment le comportement et la communication non verbale, le jugement dont doivent faire preuve les enquêtrices, les entrevues des témoins, la nature humaine et, enfin, la question du professionnalisme. À ce sujet, il ccite ce passage de la pièce « Le barbier de Séville », à l’Acte 1, scène II : « FIGARO. … en un mot, quand il a su que j’étais imprimé tout vif, il a pris la chose au tragique et m’a fait ôter mon emploi, sous prétexte que l’amour des Lettres est incompatible avec l’esprit des affaires. » Pour la détective, nous croyons que l’amour des Lettres est compatible avec l’excellence au niveau des enquêtes, et ce document de travail sera la pièce numéro un.

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