La défenderesse, la SRC, a produit une émission de télévision d’une heure abordant certaines questions soulevées au sein du corps médical et scientifique. Selon l’émission, la nifédipine sous forme de gélule à action brève, s’avérait plus dangereuse qu’utile. Le médecin demandeur a été l’une des personnes interrogées au cours de l’émission. Il a engagé une action en dommages-intérêts pour diffamation, en soutenant que l’émission avait fait certaines insinuations.