La question en litige s’inscrit dans une contestation de plus grande envergure, qui vise la méthode adoptée par le juge du procès pour déterminer les dommages-intérêts liés à la perte des soins que l’appelant aurait, par suite de son accident cérébrovasculaire, reçus de son épouse. L’appelant s’attaque en outre à la décision du juge du procès réduisant de 25 % les dommages-intérêts accordés pour la perte de soins future, une réduction qui se fondait sur l’éventualité d’un troisième mariage. Selon l’appelant, si cette réduction n’était pas erronée en principe, elle serait excessive et ne serait pas étayée par la preuve.